Digne dans la posture, juste dans ses mots, pédagogue dans son expression, et fier d'être Réunionnais, ultramarin, Français et Européen, Paul Vergès a fait une rentrée remarquée et remarquable dans la Ve République. Le président de séance : président du Sénat et deuxième personnage de l'Etat, a fait honneur à sa dimension, à La Réunion et à l'Outre-mer.
Paul Vergès a pris d'emblée de la hauteur. Beaucoup de hauteur. Dès ses premiers mots, il a évoqué "le Sénat de Victor Hugo, Georges Clémenceau et Victor Schoelcher (artisan de l'abolition de l'esclavage). Ce sont aussi leurs valeurs républicaines que nous devons faire vivre". Le parlementaire réunionnais a pris sa part dans l'histoire. "J'ai rejoint le général de Gaulle" au début de la Deuxième guerre mondiale.
L'histoire, "c'est aussi Gaston Monnerville, sénateur noir de Guyane" (1948-1974). Puis de nouveau, il a fait référence à Victor Schoelcher. L'Outre-mer a été le fil conducteur du discours de Paul Vergès. Le nouveau sénateur a d'abord ancré La Réunion et l'Outre-mer dans la France et l'Europe. Et révélé son importance pour la France et l'Europe.
"En tant que Réunionnais, Il y a la position géographique de La Réunion qui appartient à l'Afrique. La Réunion, qui par la volonté des Réunionnais est à la France et à l'Europe. Tout comme la Guyane, les Caraïbes et le Pacifique". Paul Vergès a aussi montré l'importance des Outre-mer dans la Zone économique exclusive. Ce que nous appelons l'Outre-mer doit être au cœur les préoccupations des continentaux français".
C'est sur ce socle que le responsable de l'Alliance, comme il le fait à chaque explication ou discours, Paul Vergès est retourné en 1946 et à la Départementalisation. "Nous étions 240.000 habitants à La Réunion, 60 ans plus tard, nous sommes à plus de 800.000. En 1950, le monde comptait 2,5 milliards d'âmes. Quatre décennies plus tard, nous étions six milliards".
"Le Sénat doit aussi faire face à des enjeux importants".D'abord au niveau national et européen, "il y a le chômage, la baisse du pouvoir d'achat, les politiques publiques… Au niveau mondial, il y a "le réchauffement de la planète, la montée des océans, risque d'un sixième extinction des espèces ou le changement climatique", a exposé le sénateur, Paul Vergès.
Paul Vergès a pris d'emblée de la hauteur. Beaucoup de hauteur. Dès ses premiers mots, il a évoqué "le Sénat de Victor Hugo, Georges Clémenceau et Victor Schoelcher (artisan de l'abolition de l'esclavage). Ce sont aussi leurs valeurs républicaines que nous devons faire vivre". Le parlementaire réunionnais a pris sa part dans l'histoire. "J'ai rejoint le général de Gaulle" au début de la Deuxième guerre mondiale.
L'histoire, "c'est aussi Gaston Monnerville, sénateur noir de Guyane" (1948-1974). Puis de nouveau, il a fait référence à Victor Schoelcher. L'Outre-mer a été le fil conducteur du discours de Paul Vergès. Le nouveau sénateur a d'abord ancré La Réunion et l'Outre-mer dans la France et l'Europe. Et révélé son importance pour la France et l'Europe.
"En tant que Réunionnais, Il y a la position géographique de La Réunion qui appartient à l'Afrique. La Réunion, qui par la volonté des Réunionnais est à la France et à l'Europe. Tout comme la Guyane, les Caraïbes et le Pacifique". Paul Vergès a aussi montré l'importance des Outre-mer dans la Zone économique exclusive. Ce que nous appelons l'Outre-mer doit être au cœur les préoccupations des continentaux français".
C'est sur ce socle que le responsable de l'Alliance, comme il le fait à chaque explication ou discours, Paul Vergès est retourné en 1946 et à la Départementalisation. "Nous étions 240.000 habitants à La Réunion, 60 ans plus tard, nous sommes à plus de 800.000. En 1950, le monde comptait 2,5 milliards d'âmes. Quatre décennies plus tard, nous étions six milliards".
"Le Sénat doit aussi faire face à des enjeux importants".D'abord au niveau national et européen, "il y a le chômage, la baisse du pouvoir d'achat, les politiques publiques… Au niveau mondial, il y a "le réchauffement de la planète, la montée des océans, risque d'un sixième extinction des espèces ou le changement climatique", a exposé le sénateur, Paul Vergès.